métakinébiologie, kinésiologie, Timour GOSSET dans le 65 Hautes-Pyrénées à Bagnères-de-Bigorre
Je suis Timour GOSSET, j’ai grandi dans la banlieue Toulousaine à l’écart de la ville dans une forêt. Rapidement mis sur des rails techniques, j’ai suivi des études afin de devenir ingénieur jusqu’à obtenir mon BAC S Tech. Avançant bon an, mal an dans ma formation initiale j’essayais de conserver mon coté littéraire et mes inclinaisons rêveuses. Puis la vie me stoppa net, par un grave accident de voiture à mes 19 ans. Me retrouvant à expérimenter le coma, les joies des blocs opératoires, la vie en service d’urgence, le matériel des chambres des long séjours et l’ambiance des cliniques de rééducation. Un grand coup de frein à main dans mes ardeurs juvéniles, avec coma, fractures multiples et enfoncement du plancher orbital. J’y appris à cicatriser, à attendre et parfois à souffrir (la rééducation d’un polytraumatisé peut avoir des airs de torture, comprenne qui pourra). Et surtout un univers, celui du soin, s’ouvrit à moi. C’est donc par accident que je suis tombé dans la thérapie.
Ma convalescence se déroulant, l’élan de vie revint poussé par la force de la résilience. C’est avec une motivation profonde que je m’engageais à 21 ans sur les routes de l’énergétique et de la thérapie. Initialement pour comprendre ce qui m’était arrivé, en continuant à me guérir, j’ai enchainé les formations et les stages dans le monde de l’alternatif. C’est assez vite (3 ans tout de même) que je découvris, entre deux formations, le décodage biologique. Je suivis la formation du Dr Salomon SELLAM qui m’ouvrit à cette lecture précise qu’est l’analyse psychosomatique ainsi qu’au travail transgénérationnel dans la relation thérapeutique. En creusant mon approche auprès de lui, en précisant la discipline, j’appris également les clés que peuvent apporter l’aspect psychosomatique dans une approche énergétique globale du consultant. C’est en 2004 que je découvris la méthode de travail que j’utilise aujourd’hui, la Métakinébiologie®, au bénéfice d’une formation avec Philippe BERTHOLON. Ce « concept » fut une révolution au centre des multiples enseignements que j’avais pu suivre par le passé. Il permis de tisser des liens entre différentes approches et laisser transparaitre le thérapeute que je devenais. Outil impressionnant qui m’a laissé quelque peu pantois devant cet univers qui s’ouvrait devant mes yeux ébahis. Les limites de l’inconscient pouvaient être franchies et il était possible de rentrer en profondeur dans une intimité allant au-delà des limites de la conscience. Enfin je trouvais un outil permettant de faire de la médiation entre le conscient (mental, dirigiste, motivé…) et l’inconscient (instinctif, fantasque, chargé de mémoires…). Devant le manque de maturité (personnelle comme thérapeutique) dont je dégoulinais, j’ai fais le choix de mettre de coté cet outil précieux. J’ai gardé enfoui en moi tout ce que j’avais appris pendant 7 ans. Sept ans à œuvrer dans une nouvelle région (ville thermale de Bagnères de Bigorre et les Hautes Pyrénées) à chercher à faire ma place dans le soin. Dans le milieu associatif j’ai monté une asso 1901 autour du bien-être : Cocon de Soi. Elle fonctionne toujours à Bagnères de Bigorre et je me suis, à l’époque, de rapproché des soins du corps. De massage-bien-être en cabinet (Californien, énergétique chinois, réflexologie) aux massages assis en station de ski (méthode Amma de Touchline), passant par les salons bien-être locaux et les promotions d’évènements sportif, j’ai eu l’occasion de développer la main que j’avais dans mon début de parcours. Lorsqu’en 2011, alors que je devenais papa pour la première fois, je pris la décision de formaliser tout ce que j’avais dans ma besace. Je fis une deuxième fois la formation de Métakinébiologie® dans le but d’avoir un outil thérapeutique professionnel et effectif.
Depuis une dizaine d’années je consulte au 8 place des Thermes à Bagnères de Bigorre. J’ai eu l’occasion de faire fructifier mes nombreux contacts et de m’installer avec ma famille (et mes enfants) au sein du piedmont Pyrénéen.
Qu’est-ce que la MétaKinéBiologie (MKB) ?
Sens du mot :
Méta = préfixe grec signifiant après/avec/au delà de
Kiné = venant de kinésis le mouvement
Biologie = sens de la vie
C’est à la fois :
– une manière de mettre à jour des structures inconscientes enkystées afin de les mettre en mouvement pour les libérer
&
– une méthode d’éducation à la gestion de son équilibre intérieur.
Conceptuelle-ment parlant
Les avancées de la physique quantique ouvrent une nouvelle dimension à ce qui est communément appelé la réalité. Une dimension « vibratoire » qui ne vient pas compléter le tableau classique mais bousculer certains principes de base.
Par exemple : le fait que l’atome (la presque plus petite unité de matière) soit constitué à grande majorité de vide et d’énergie, remet en cause la solidité de ce que nous percevons.
Notre perception justement
La biologie est arrivée à analyser les mécanismes qui induisent nos perceptions. Nos organes des sens (VAKOG) nous dressent un tableau de la réalité. Nos yeux réagissent à la lumière, impriment dans le fond de notre œil une image en 3D inversée transmise par neuro-transmetteurs au cerveau qui en fait une lecture et une interprétation.
C’est le même mécanisme pour ce que nous entendons les vibrations sur les tympans envoient un signal au cerveau pour son analyse et son appréciation (quel est ce son et quel effet produit-il?). Etc…
Les homo-sapiens-sapiens ayant la même configuration (dans une majorité écrasante) la somme des perceptions de chacun constitue le REEL. Et dans l’autre sens on peut dire que la réalité est une perception vibratoire, individuelle comme commune.
Le cerveau
Ce centre de commande reçoit toutes les informations de la structure corporelle (intérieure) ainsi que celles de la réalité trans-personnelle (extérieure). On estime à 1777 Milliards le nombre d’informations qu’il reçoit à la seconde. De cette grosse somme une petite partie passe à la conscience (ce que Freud désigne comme étant le SURMOI). C’est à dire que 90 % va dans l’inconscient et 10 % dans le conscient. De ces 10 % conscientisés une petite partie accède au mental, où est effectué une Nème analyse. Métaphoriquement, notre mental a une fonction de commercial pour notre cerveau, il ne peut en effet gérer que 7 informations simultanément. Cela n’indique pas qu’il faille minimiser son importance, c’est lui qui a la feuille de route avec des besoins à remplir, des conditions, des objectifs et des interdits. Cependant c’est le cerveau le patron.
Dans notre société le mental est devenu roi. C’est une bonne chose… pour le mental et pour ceux qui travaillent à son service (de l’émotionnel en passant par l’égo jusqu’aux publicitaire). La MKB va interroger le cerveau directement. Par l’utilisation du test musculaire (issu de la kinésiologie) une réponse tonicité/non-tonicité va apparaître. Un dialogue va s’instaurer entre le thérapeute et et le cerveau du patient. Avec une réponse de type binaire, fixant :
– tonicité = non-stress = OUI
– non tonicité = stress = NON
nous allons explorer la problématique. Les indications qui en découleront seront soigneusement exposées au mental, afin qu’il puisse voir sous un angle différent sa « si essentielle » cohérence.
Les croyances
Notre cohérence repose sur des croyances et leurs capacités à se justifier (à être cohérentes).
Notre réalité est le reflet de la solidité de nos croyances dont nous ne sommes qu’en partie responsables.
Responsabilité partagée
Souligner la responsabilité du cerveau induit de saisir ses fonctionnements. Il a, à l’instar du mental, une conscience élargie de son univers. Bio-chimiquement parlant il est centralisateur et émetteur de signaux qui définissent notre réalité. Les expériences peuvent se réduire à des connexions synaptiques. Ce fonctionnement balaye les différences entre le réel, le virtuel, l’imaginaire et le symbolique. Pour le cerveau c’est = comme si [test citron]
Le distinguo qui existe est une appréciation de notre mental qui relativise et qui harmonise (par souci de cohérence) cette réalité. Un enfant qui n’a pas encore appris à maîtriser son mental réagira plus brutalement face aux situations.
N’oublions pas que le juge\ment positif-négatif est aussi à la charge du mental. Pour le cerveau il n’y a pas d’éthique ni de bons sentiments. Sa première tâche archaïque est la survie. C’est son premier critère. Les notions de bien-être, confort, justice, morale sont secondaires. Le cerveau met en place des dynamiques de survie depuis la nuit des temps, et c’est grâce à cela que nous sommes là aujourd’hui.
Pour parler du temps, justement, notre conception du temps est un artefact de notre mental. Comme une boussole indiquant d’où nous venons (passé) sur notre chemin d’évolution, où nous sommes (présent) et où nous allons (futur). C’est un outil indispensable au mental pour gérer notre évolution personnelle. Avec une vision conceptuelle du passé on peut mieux diriger son présent afin que le futur y ressemble ou tout au contraire soit différent. Notre cerveau lui ne connaît que le temps qui existe : l’instant présent. Il est dans une conscience élargie de l’instant présent.
Schématiquement on pourrait dire qu’il remplit des fiches et y indique le « polaroid » du moment avec deux coups de tampons : Emotion et Ressenti. Puis ces « fiches » sont stockées (dans le cerveau limbiques, la mémoire ≠ les souvenirs qui nécessitent la validation du mental). Je rappelle que nous nous trouvons dans la conscience pure (90 % d’inconscient + 10 % de conscient). Une expérience traumatisante (RIVS) laissera une trace sur la fiche, en attente de correction. Si la blessure est consciente le mental va tout mettre en œuvre pour apporter réparation. Si elle est inconsciente ce peut être plus compliqué. D’autant plus si elle s’avère être une réminiscence.
Temporalité
Partant du principe que le cerveau ne reconnaît que l’instant présent, essayons d’envisager comment le mental peut travailler sur les cicatrices d’hier afin de préparer un futur cohérent avec ses instructions de base.
Le seul moment où il y a quelque chose à faire est l’instant présent. Le passé n’existe plus et le futur n’existe pas encore. Si le désir est d’influer sur notre futur les sources à équilibrer se trouvent bien souvent dans notre passé. Or le passé est inaccessible, on ne refait pas son histoire, cependant il est possible d’aller relativiser, atténuer, des éléments (les émotions et les ressentis). La mémoire est mobile car elle représente un angle de vue sur un fait à un instant T. Nos problématiques, comme toute chose, ont un début, une apogée et une fin. Nos « fiches » nous dressent un historique complet stocke dans l’inconscient. L’art est de localiser la fiche sur laquelle une modification est possible pour atténuer l’impact qui se fait ressentir dans l’instant présent.
Sans décoder ?
Les avancées de la biologie ont mis en lumière une conceptualisation clinique de la psychosomatique. L’initiale « médecine nouvelle » du Dr Hamer s’est enrichie de regards croisés de ses descendants : Claude Sabbath, Gérard Athias, Jacques Martel, Michel Odoul, Salomon Sellam, Christian Flèche… pour devenir une véritable science en expansion. Il est possible, aujourd’hui, de dégager un ou plusieurs sens derrière notre vécu. C’est le domaine du décodage biologique, médecine intégrale, psychobiologie, analyse psychosomatique… selon les écoles et le étiquettes. Christian Flèche soulignait avec justesse que le symptôme peut avoir plusieur interprétations selon l’individualité de chacun. Un conflit peut en effet avoir de diverses interprétations teintées par des conditions : conjoncturelles, culturelles, historiques, personnelles, familiales… Cette diversité dans la manière d’interpréter limite et complexifie toute tentative d’attache le symptôme à sa cause. La MKB permet d’avoir une indication précise sur le ressenti (ou l’émotion) présente sur la fiche adéquate… Une fois le processus mis à jour, il sort de l’inconscient et devient accessible au mental qui peut enfin le prendre à sa charge.
Juste un malentendu ?
Définir nos pathologies / comportements restrictifs comme des malentendus peut sembler simpliste, il est vrai si on reste sur une vision limité de notre réserve de fiches, ainsi que de nos problématiques. Ces « fiches » sont des instantanés définis par une époque, un ressenti (une émotion) ainsi que d’un élément factuel. Ce dernier « est », il n’y a pas à discuter dessus. Le ressenti est beaucoup plus personnel(en rapport avec ses difficultés…) et le facteur temps indique le degré de maturité qui va le teinter. Ressenti qui va être influencé sur la cohérence qu’il portera vis-à-vis des autres fiches et de notre croyance. Nous parlions de réminiscence, nos croyances sont portées par le factuel et orchestrées par le mental. Pour s’ériger une croyance a besoin d’un faisceau de résultats cohérent. Qui rappelons le sont dépendants d’actions engendrées de potentiels eux-mêmes dépendants de croyances (la boucle est bouclée). Casser ce schéma répétitif, sortir de la zone de confort (si inconfortable puisse-t-elle être) demande conscience et volonté. Conscience du moment où le « mauvais programme » (mauvais = appréciation mentale) s’est mis en place ans notre histoire ou au-delà. Au-delà car la première fiche que nous portons se perd au fin fond de l’inconscient collectif. En tant que membre officiel de notre clan, nous arrivons chargé de cet héritage familial qui fait notre diversité : et source infinie de malentendus.
Trans-générationnel
Bien souvent les racines de notre problématique plongent dans l’ascendance générationnelle. Ce peut être une des bases du malentendu qui mine notre inconscient. Notre code génétique inconscient ne peut envisager le lâcher-prise sur les traumatismes qui s’entachent. Il est au service de l’évolution dont nous sommons tout-en chacun le point de convergence. Dans un monde régit par les lois de Newton toute action engendre une réaction sur une durée à plus ou moins longue échelle. Les récentes découverte sur l’épigénétique, indiquent une transmission des conflits dans une dynamique de clan. La transmission se faire plus difficilement de parent à enfant (en cause du besoin de l’enfant de se séparer de ses parents pendant la période de l’adolescence. En ce qui concerne la transmission grands-parents, enfant c’est beaucoup plus systématique, et parfois inversement proportionnel au détachement qu’il peut y avoir entre les parents et leurs alleux.
On ne cesse de revivre les problématiques de clan que lorsqu’elles sont intégrées, qu’elles rentrent dans la cohérence. Sachant que on = le clan.
Parfois monter dans l’arbre permet de mettre des mots, d’utiliser son verbe créateur, pour assainir ses racines.
Ma manière de travailler
C’est avec un langage épuré, « simple » mais non moins porteur de sens que j’accompagne celui qui vient travailler avec moi vers une meilleure compréhension de sa problématique. Ce sur différents plans temporels afin d’harmoniser le mental avec le cerveau.
Les rééquilibrages viennent de diverses techniques énergétiques : EMDR – PNL – DESCOPEM – verbe créateur… Un véritable suivit de séance apparait au besoin : Devoirs, mise en mouvement symbolique au service de la consolidation de la transformation.
Public concerné : tout public du nouveau né à la personne âgée.
Tous les jours de la semaine (hors week-end et jours fériés) de 9h à 17h
La consultation dure 1h30 en cabinet
au tarif de 70€
certaines mutuelles remboursent la méthode
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